Théâtre. 2000 – W.A., Woody Allen

W.A., Woody Allen

Résumé

Woody Allen nous apparaît tout naturellement comme un cinéaste au regard très personnel. Mais au-delà de cette « médiatisation », il est bien plus que cela ; son œuvre s’inscrit dans la grande tradition de la littérature humoristique et de ce qu’il est convenu d’appeler l’esprit. Alphonse Allais, Cami, Dac, Jarry, Shaw, Guitry, Ionesco, Becket sont des prédécesseurs illustres de la manipulation de l’ironie. Sa vision de ses contemporains est méchante, tendre, amusée, violente aussi et passionnée. Ses textes s’en prennent à l’éphémère, l’illusoire, le superficiel. Tout ça donne envie d’explorer ses personnages et les situations dans lesquelles ils se plongent, de leur donner corps et passion, de les pousser dans leurs derniers retranchements, d’utiliser le jeu du théâtre, le langage de l’image, de la silhouette, de l’exagération. Le rire peut être au rendez-vous, les rires plutôt, la tendresse aussi, le sérieux parfois, parce que la vie est derrière.
Les comédiens ont composé un texte qui met en scène une histoire de couples, façon Woody Allen. Jacky et Sally se séparent dans la bonne humeur… Ils représentent le couple idéal pour leurs amis, puis… se remettent en ménage… D’après le scénario « Maris et Femmes », montage plein d’humour. Représentation de nos petits travers, de notre complaisance à compliquer notre vie….

Mise en scène et scénographie

Jean-Claude Parent

Distribution

Lydie Dorthe, Françoise Hubert, Fabienne Lastère, Claude Manigand, Eric Plennevaux, Michel Rapaport

Images